ÉPILATION DU CORPS

Epilation Laser du corps : quelles sont les zones possibles ?

Toutes les zones ne sont pas à égalité pour l’Epilation Laser : le type de poil (couleur, épaisseur), la vitesse de repousse, l’imprégnation hormonale varient selon la zone du corps, tout cela étant différent d’une personne à l’autre. 

Le traitement d’epilation du laser du corps doit donc être adapté de façon réfléchie par un professionnel.

Zones d’épilation du corps

L’épilation laser du corps est devenue l’acte de médecine esthétique le plus répandu. En effet, si tout le processus d’épilation a été bien conduit, le degré de satisfaction des patient(e)s est extrêmement élevé quand la peau est lisse et sans traces de poils, ce qu’on peut observer même des années après.

Il existe différentes techniques permettant d’obtenir une épilation définitive : Lasers, lumière pulsée de puissance médicale, épilation électrique. Toutes n’ont pas le même mécanisme d’action, la même efficacité selon le patient, ni le même niveau de sécurité.

Dans notre centre, nous proposons deux techniques à la fois efficaces et sûres:

– le Laser Nd:YAG, adapté à tous les types de peau (blanche à noire), toutes les couleurs de poils (noirs, châtains, blonds, roux, mais pas blancs), toutes les textures de poils (épais, fins et même duvet), et ce en toute sécurité, même en été et si l’on est bronzé.

– l’épilation électrique ou “électrolyse, adaptée à tous les cas également, qui est la seule solution sur les poils blancs, et est particulièrement performante sur les poils fins.

Chez les femmes, les zones les plus couramment demandées sont: aisselles, maillot, demi-jambes, cuisses, avant-bras. Le souci esthétique, les poils incarnés, la nécessité de recommencer indéfiniment la cire sans être jamais nette sont les motivations principales.

Pour les hommes, les épaules, le dos, le torse, l’abdomen sont les zones privilégiées, soit dans le but d’une élimination complète des poils, soit pour en réduire la densité.

épilation laser du corps

Comment se passe le traitement ?

Lorsqu’on décide de commencer l’épilation laser, il ne faut plus employer de méthodes qui arrachent les poils (cire, dépilateur…) pendant au moins cinq semaines avant la séance. Pour que le laser fonctionne, les racines des poils doivent être présentes: il faut donc uniquement se raser, ou éventuellement utiliser la crème dépilatoire. Cela peut faire peur, par crainte de renforcer les poils, mais en réalité cela permet d’améliorer l’effet du laser et va au contraire aider à mieux détruire les poils présents et affaiblir les futurs poils. 

L’espacement entre les séances est typiquement de 8 semaines, avec des différences individuelles bien sûr, et cet intervalle va s’allonger au fil des séances, les poils poussant de plus en plus lentement. Entre les séances, il est possible de se raser autant que l’on veut. 

Au total, il va falloir au moins 7 séances pour venir à bout de vos poils, chaque séance ne pouvant détruire que 15% des cellules embryonnaires présentes à côté du bulbe des poils matures (c’est-à-dire qui dépassent de la peau). 

Les suites du traitement sont très simples avec le Laser Nd:YAG: dans la plupart des cas, aucune rougeur, mais parfois certains points peuvent présenter un léger oedème qui ressemble à un bouton. Ceci est dû à l’échauffement de la racine du poil qui chauffe la peau autour d’elle, mais ce petit gonflement ponctuel disparaît en 30mn sans laisser de traces. Aucune crème n’est nécessaire non plus après ce laser. 

La douleur? Surtout n’écoutez pas ceux qui prétendent que le Nd:YAG fait plus mal que l’Alexandrite, car cela est totalement faux !
Pourquoi ? Parce que la douleur n’est pas liée à un seul facteur comme la longueur d’onde, mais à plusieurs facteurs: la puissance (le nombre de Joules, c’est-à-dire la quantité de chaleur apportée sur la peau), le diamètre du faisceau (on a plus mal avec un faisceau large qu’avec un faisceau fin), la présence ou non d’air froid qui souffle sur la peau, et surtout la vitesse à laquelle se succèdent les coups de laser (plus on va vite, plus ça fait mal). Ici, moins de 2% des patients réclament la crème anesthésiante, un record!

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